
Le gris de la pluie
Sombrait en mon cœur décharné
Ta main caressant mon épaule
Ne suffisait pas à m’arracher de la Terre
Et la couleur de tes yeux
Ce bleu pâle sur mon aile déployée
Puisait les minéraux
Sur le Monde endormi
Le vent de ta robe
A la douce caresse
Sur ma joue sublimée
Et l’odeur de ta peau
Mélangée aux parfums
Des désirs lointains
Me forçaient au sourire
Que tu m’incitais à porter
Aveugle
Je courais
De ma main hérissée
Je courais
Assoiffé de désirs
De cette main agile
Aux odeurs courroucées
Je courais
À n’en plus m’arrêter
Paul Philbée – 01/2020
Quand la motivation et le désir sont là…
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Oui on peut faire beaucoup de belles choses.
Merci à vous.
Paul
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Bonsoir Paul, superbes la photo et les mots du poème bonne soirée Amicalement MTH
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Bonsoir Marie
Merci beaucoup pour vos mots d’encouragement.
Bien à vous
Paul
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Une sensibilité incroyable se dégage de ces lignes. Cela m’avait manqué de te lire, cher Paul. Bonne soirée, et heureuse nouvelle année.
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Bonjour Milena
Ton commentaire me fait chaud au coeur.
Merci à toi d’être toujours là.
Bonne et heureuse année à toi aussi.
Paul
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Un très beau texte avec cette photo d’une scène de vie sur la plage, bravo Paul ツ
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Merci Stéphane !
Bien à toi
Paul
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