
Le destin de ceux qui s’ennuient
Se retrouve dans les airs
Dirigeant l’opéra d’une baguette canne à pêche
Ils ferrent le poisson nuage
Jusqu’au fin fond de l’océan
Le destin de ce moi qui s’ennuie
Et qui jamais ne me nuit
Se noie dans le fruit
De tes yeux pimprenelle
Amour charmant
Voluptueux passe temps
Où s’affichent nos sourires
À la couleur des sentiments
Paul Philbée – 01/2019
Heureux soit l’oisif qui pense.
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Heureux est il de n’avoir que ça à faire ! 😊
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J’adore. Cela fait longtemps que je n’ai pas lu le mot “pimprenelle”! Merci!
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Merci beaucoup Kenza.
Bonne soirée.
Paul
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Tout d’accord, Paul. Vive l’ennui !
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Merci beaucoup Gilles.
Bon dimanche.
Paul
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