J’ai voulu tenir entre mes mains
L’eau
Le sable
Le feu
Les doigts serrés
Ma peau n’est plus celle
Emplie de chair et bien potelée
Celle tendre et douce du nouveau né
Le sable s’est écoulé entre mes doigts noués
Ne restaient que quelques grains
Au creux de ma paume
Et quelques gouttes d’eau
Qui ne sont pas parvenus à éteindre
Le feu qui coule encore en moi
Et qui me brule
Lorsque je suis loin de toi
Paul Philbée – 06/2018
Tragique !
J’aimeAimé par 1 personne
Merci beaucoup Lorraine.
J’aimeJ’aime
Magnifique ! Je suis émue.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci beaucoup !
Bonne année.
Paul
J’aimeAimé par 1 personne