
Au lever du soleil
Tu es la grâce
Tu es si douce avec moi
Que je ne sens rien
Je ne te sens pas
Tu deviens rugueuse
J’ouvre un œil
Le referme
Je te sens un peu mieux
Tu peux devenir rage
J’ouvre alors les deux yeux
Tiens il pleut
Je les referme
L’orage va passer
Le vent souffle sur mes paupières
Tu grondes
Tu tonnes
Les gouttes se font plus drues
Sur mon visage de nouveau né
Les yeux toujours fermés
A la chaleur des rayons du soleil
Contre mon oreille chauffée
Je te fais mon plus grand sourire
Et je dis dans un léger soupir
Chérie
Si tu m’apportais
Le café au lit
Paul Philbée – 04/2018
très rafraîchissante, cette manière de percer le soufflet.
merci
Joyeuses Pâques,
Franck
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Merci beaucoup Franck !
Je ne dis pas si le soufflé est retombé ou s’il a éclaté 😊
Bon Dimanche
Paul
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